LES MAGICIENNES
Italo Valenti, Les Magiciennes, Olio su tela, 1954 “C’était toujours quand on les attendait le moins qu’elles revenaient demeurer avec nous.Le jour, elles s’annonçaient par la douleur d’une côte, par des pieds froids et par les galops du coeur.Dans la nuit, des lueurs vagabondes nous faisaient entrevoir la forme de leurs voiles d’ombre, l’austère autorité … Leggi tutto